Site d'origine du message: uneparjour Page d'origine du message: Destinataire: rédaction uneparjour et auteur de l'image Concerne la photographie: upj_harandanedicko235 ![]() Elle s'est accroché à son os comme Mor Lam dans la pièce de théâtre qui fut écrite dans les années 1960 par Birago Diop.Les habitudes de la vie imposées par la TRADITION se révèlent mal adaptées aux besoins de Mor Lam. Disons que Mor Lam s'adapte mal à ses obligations. Son désir de se trouver seul, dans sa demeure, pour savourer son OS, explique toute l'importance de l'événement et dénote un égoïsme bien humain. Mais son choix, sa décision : plutôt faire le mort que partager l'Os, est terrifiant. Prisonnier de lui- même, sans générosité… Il meurt. C'est dans l'ordre. Il faut jouer le Jeu de la Tradition, celui de la Société dans laquelle nous vivons. NOUS NE SOMMES PAS LIBRES. Et AWA ? L'épouse modèle ? Elle n'existe que dans l'OBEISSANCE à laquelle elle se soumet tout naturellement . Attachée à Mor Lam par les liens implicitement contenus dans le simple fait d'EPOUSE, elle accepte d'entrer dans le jeu, ou plutôt dans l'ANTI-JEU de son mari au risque de la perdre. Est-ce par respect de la LIBERTE de Mor Lam ? Est-ce de l'indifférence ? Allez savoir. Mais MOUSSA MBAYE est-il un véritable FRERE ? Lui qui, jouant le jeu, pousse son PLUS QU'AMI dans la tombe ? |